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Sebastiano Caniozzi enseigne l’histoire de l’art à l’Université Columbia. Il est aussi voleur d’oeuvres d’art. Les tableaux qu’il dérobe sont recelés à travers l’organisation mafieuse des Sylvanos ou sont ajoutés à sa collection personnelle. Lorsqu’un des vols de Sebastiano échoue, l’accord qu’il conclut avec le FBI l’oblige à revenir à Montréal et à réintégrer la famille qu’il a fui vingt ans plus tôt. Après avoir reconquis son premier amour et s’être vengé de son père et de son frère, Sebastiano se retrouve au centre d’une lutte de pouvoir entre les clans adverses de la Cosa Nostra montréalaise et les Sylvanos de New York. Ses options sont limitées s’il veut éviter la prison et s’emparer du tableau qui complétera son précieux triptyque de Caravage. L’issue du dernier cambriolage de Sebastiano au Musée National des Beaux-Arts du Québec scellera son sort.

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Sebastiano Caniozzi teaches art history at Columbia University. He also happens to be a first-rate thief who steals works of art, which he keeps for his private collection when he doesn’t sell them through the Sylvano crime family. When one of Sebastiano’s robberies fails, he has to cut a deal with the FBI that sends him back to Montreal, into the family he fled twenty years earlier. After winning back his first love and exerting vengeance upon his father and brother, Sebastiano becomes the center of a power struggle between the feuding clans of the Montreal Cosa Nostra and the New York-based Sylvanos. His options are limited if he wants to stay out of jail and get his hands on the painting that will complete his precious Caravaggio triptych. Everything hinges on the outcome of Sebastiano’s last caper at the Musée national des beaux-arts du Québec.

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The Orchestra sera un documentaire musical mettant en vedette l’Orchestre philharmonique de Berlin. Exploitant les mêmes techniques cinématographiques que Suggestion diabolique, le film inclura une sélection de pièces qui reflète l’évolution de l’orchestre classique occidental. Les pièces sont présentées en ordre chronologique et proviennent des plus récentes périodes de la musique classique : baroque, classique, romantique et vingtième siècle.

Chaque performance emploie davantage de musiciens que celle qui la précède, de telle manière à ce que la taille de l’orchestre croisse constamment à travers le film. L’amplitude et la vitesse des mouvements de la caméra reproduisent ce motif d’expansivité.

Les principales compositions de musique orchestrale sont représentées, de même que les différentes formes d’expression artistiques supportées par celle-ci : symphonie, concerto, œuvre chorale, film, opéra (avec deux chanteurs en duo) et ballet (avec deux danseurs dans un pas de deux).

Avant chaque performance, une brève introduction est livrée par un maître de cérémonie.  Parfois humoristiques et toujours légères, ces introductions contextualisent et relient les pièces.

The Orchestra sera le premier long métrage à être entièrement tourné en « motion control ».

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“The Orchestra” will be a musical documentary featuring the Berlin Philharmonic. Relying on the same cinematographic techniques as "Suggestion diabolique", the film includes a selection of pieces that reflects the evolution of the Western classical orchestra. The pieces are presented in chronological order and span the most recent periods of classical music: baroque, classical, romantic and twentieth-century.

Each performance requires more musicians than the one it follows so that the size of the orchestra constantly increases throughout the film. The amplitude and speed of the camera movements follow the same pattern of expansiveness.

The main compositions of orchestral music as well as the various art forms supported by it are represented: symphony, concerto, choral work, film, opera (with two singers in a duet) and ballet (with two dancers in a pas de deux).

Before each performance, a short introduction is delivered by a master of ceremony. Sometimes humorous and always light in tone, these introductions contextualize and connect the pieces.

“The Orchestra” will be the first feature length film to be entirely shot in motion control.

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Suggestion Diabolique montre le pianiste virtuose André Laplante interprétant la pièce éponyme composée par Sergueï Prokofiev.  Le film est un plan-séquence dynamique de trois minutes exécuté par une caméra robotisée.

L’aspect novateur de ce court métrage tient à la façon dont le système de « motion control » (moco) le plus perfectionné au monde a été mis au service de la complexité cinématographique. Le moco est habituellement utilisé pour sa stabilité et sa capacité à répéter, au micron près, des mouvements relativement simples afin de produire des séquences qui sont par la suite manipulées lors de la création des effets spéciaux auxquels elles sont destinées.

Dans Suggestion diabolique, la précision du moco a plutôt été engagée dans le tournage d’un plan séquence qui combine plusieurs mouvements de caméra et d’objectif. Le cinéaste Chris Landreth, lauréat d'un Oscar en 2005 pour son film Ryan, a prêté ses talents à la conception du mouvement de caméra de Suggestion diabolique. Ce mouvement a d’abord été créé dans un environnement 3D, puis reproduit par le moco en parfaite synchronisation avec le jeu d’André Laplante lors du tournage. Le processus d’animation est détaillé dans le making-of du film.

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"Suggestion Diabolique" shows virtuoso pianist André Laplante interpreting the eponymous piece composed by Sergei Prokofiev. The film is a three minute dynamic sequence shot executed by a robotized camera.

The novel aspect of this short film lies in how the world’s most advanced system of motion control was used to shoot complex cinematography. Motion control is mainly used for its stability and its capacity to repeat, with perfect accuracy, relatively simple moves to shoot footage which is then manipulated during the creation of the special effects it was intended for.

In "Suggestion Diabolique", the precision of motion control is rather engaged in shooting a single shot combining numerous camera and lens movements. Renowned director Chris Landreth, whose film "Ryan" won him an Oscar in 2005, lent his talents to the design of "Suggestion Diabolique"’s camera movement, which was first created in a 3D environment and reproduced on set by the motion controlled camera. The details of the process are explained in the making-of the film.